PHUKET : Les officiels ont renforcé leur campagne de sensibilisation pour “encourager” les touristes à porter le masque dans les lieux publics avec des ‘patrouilles masque’ sur Bangla Rd à Patong.

Cette initiative intervient après la publication par le gouverneur de Phuket Narong Woonciew d’un ordre confirmant l’obligation du port du masque en public.

“L’information exclusive”, comme l’ont qualifié les officiels de Phuket, est que le port du masque n’est plus obligatoire en mangeant, en buvant, en faisant de l’exercice en public lorsque la distanciation sociale peut être respectée, et lors des contrôles d’identité ‒ ce qui est déjà pratiqué depuis des mois à Phuket.

Néanmoins, le vice gouverneur de Phuket Amnuay Pinsuwan et le chef du District de Kathu Siwat Rawangkul ont participé à une sortie avec la Police de Patong, la Police Touristique de Phuket et les officiels du District de Kathu sur Bangla Rd la nuit dernière pour “rappeler” aux touristes et aux entreprises que la règle du port du masque reste en vigueur.

A noter, malgré le fait que des touristes étrangers et des employés des bars ne portaient pas de masques, la police n’a verbalisé personne et n’a averti personne qui ne portait pas de masque.

Le 1er Juin, l’ordre du gouverneur Narong rappelait que le du masque était particulièrement requis “pour que les activités socio-économiques puissent se poursuivre en parallèle des mesures de santé publique et en soutenant la réouverture du pays”.

Malgré l’absence de contrôles du port du masque en public, le dernier ordre du gouverneur Narong inclus les avertissements standards indiquant que selon le Décret d’urgence, les parties peuvent ne pas pouvoir exercer leur droit à l’objection dans le cadre de la Section 30 paragraphe deux (1) du Administrative Practices Act B.E.

Les personnes qui enfreignent ou ne respectent pas la règle sont punissables dans le cadre de la Section 51 du Communicable Diseases Act B.E. 2558, d’une amende de B20,000, ou dans le cadre de la Section 52 du même acte, d’une peine d’un an de prison et d’une amende de B100,000, et dans le cadre de la Section 18 du Décret Royal sur l’Administration Publique en Situation d’Urgence, de deux années de prison et d’une amende de B40,000.

Article original : The Phuket News

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